Je suis allé samedi au concert des Brian Jonestown Massacre, un groupe de rock américain atypique. Depuis des années ils se produisent de manière autonome, et ont toujours refusé de signer des accords avec les majors. A leur tête, le leader charismatique Anton Newcomb, musicien touche à tout de génie (compositeur, guitariste, chanteur, il joue également d'un grand nombre d'instrument, et même de la cithare).
L'histoire des Brian Jonestown Massacre est relatée au côté de celle d'un autre groupe rock, plus connu, les Dandy Warhols, dans le documentaire d'Ondy Timoner : Dig. Si vous aimez le rock, je ne peux que vous le conseiller (il est disponible en DVD). Voici la bande-annonce :
Il montre de manière saisissante les parcours divergents de ces deux groupes au départ très proches dans l'esprit, la musique, et leurs relations amicales. Les Dandy Warhols ont connu la gloire après leur signature Capital Records, tandis que les BJM sont plus restés dans l'ombre, avec une plus grande liberté créative, mais aussi une instabilité du groupe autour d'Anton Newcomb, leader mégalo difficilement contrôlable.
Voici donc quelques extraits du concert :
Nevertheless :
C'était sympa globalement, mais dommage que Newcomb n'ai pas été aussi présent par sa voix que par sa guitare.